Témoignage

Hélène - Témoignage

Salarié·e d'EBE
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La première fois que tu as entendu parler de TZCLD ? C’était pendant ma formation à l’ADAPT en préorientation. J’ai découvert TZCLD grâce à un courrier de la mairie trouvé dans ma boîte aux lettres. Intriguée, j’ai contacté Laure Brouillard, chargée de mission TZCLD, par mail pour participer à une réunion. Par la suite, j’ai continué ma formation à l’ADAPT et en même temps j'ai intégré TZCLD. Pourquoi as-tu eu envie de te lancer dans l’aventure ? J’avais envie de me lancer dans cette aventure parce que j’aime les aventures, les challenges ! Après le Covid-19, j’avais besoin de sortir, de me resocialiser et de rencontrer de nouvelles personnes. Ce qui t’a le plus étonnée ? Ce qui m’a marquée, c’est de pouvoir rencontrer différentes personnes avec différents statuts. J’ai pu discuter avec des personnes de tous horizons : des élus, des partenaires, des volontaires… Il n’y avait aucune barrière. Dès qu’on entre dans la salle, on fait partie de TZCLD. Une rencontre marquante ? Les parcours de certains volontaires m’ont profondément touchée. Quand je voyais le parcours de certains volontaires, de la galère qu’ils ont pu vivre. J’ai rencontré des personnes qui ont traversé des épreuves incroyables : quitter leur pays, changer de statut, se reconstruire malgré les difficultés… c'est dingue ! Ce sont de véritables héros. Leur volonté et cette flamme sont inspirantes,. Je suis là grâce à ses personnes, ce sont des soleils. Qu’est-ce que la signature de ce CDI en EBE a changé pour toi ? Que t’apporte ce nouveau travail ? Ça m’a permis de me faire plaisir, même dans les petites choses du quotidien. Par exemple, je peux m’acheter du chocolat ou de bons thés, et je mange mieux. La qualité de mon alimentation s’est vraiment améliorée, et pour moi, c’est vraiment important. Que pense ton entourage de ce nouvel emploi ? Ils me trouvent un peu… chiante maintenant, car je parle tout le temps de mon travail ! Avant, je travaillais à domicile, alors j'étais chez moi. Maintenant, ils se demandent toujours où je suis. Ils m’encouragent.

— Hélène

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